L’analyse des variantes est-elle accompagnée d’une approche économique ?

Cette évaluation économique n’a pas été systématique. Elle a été pratiquée par certaines équipes de maîtrise d’œuvre dans certains projets. Par exemple dans le projet GHT, qui a comparé un chauffage gaz à un chauffage bois. Le bois est plus cher en investissement et moins cher en exploitation (rentable au bout d’environ 15 ans), et permet d’atteindre le niveau C2 pour les produits de construction et équipements, contrairement au gaz+solaire photovoltaïque qui est au niveau C1. « La combinaison chaufferie et ossature bois permet de s’affranchir d’une installation solaire photovoltaïque pour atteindre le niveau E3, ce qui permet à cette variante d’être la plus performante en termes de poids de carbone des produits de constructions et équipements. »

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